Je vous rappelle qu’à une époque, notre survie dépendait de notre capacité à agir/ réagir vite. Et nos choix n’étaient pas nombreux, soit la fuite pour sauver sa peau si nous n’étions pas de taille, soit se battre.
Le hic : nos modes de vie ont évolué mais notre capacité à identifier un danger vital non.
En conséquences, le fait de ne pas avoir rendu un travail à son employeur est toujours vécu physiologiquement comme un menace à sa survie…
Comment qualifier un stress ?
- En général, il est associé à une perte de contrôle.
- L’évènement déclencheur est souvent imprévisible.
- Il est souvent la conséquence de sa difficulté à s’adapter à la nouveauté.
- Mais il peut également être lié à une atteinte de l’ego.
Il existe différents types de stress :
- les bons
- les mauvais
Les facteurs de gravité :
Pour une même situation, chaque personne aura sa propre façon de vivre une le stress. Finalement ce qui importe vraiment c’est d’identifier, pour soi :
- Son intensité du stress
- Sa durée
- Est-t’il répétitif ?
- Est-t’il choisi ou subi ?
Cela revient donc à qualifier sa souffrance à son rapport au stress.
Quels sont les conséquences sur nos différents plans ?
- Le physique : troubles digestifs, cutanés, du sommeil, du système musculo squelettique, baisse de l’immunité…
- Le psychique : manque de discernement, généralisations abusives, état dépressif, idées noires, perte de confiance en soi…
- L’énergétique : baisse de la vitalité, fatigue, frilosité,…
Plus la durée et l’intensité du stress sont importantes, plus vous serez perméable à d’autres stress… Le serpent se mord la queue.
Bon et maintenant on fait quoi ?
Cet article est le premier d’une série qui a pour objectif de vous présenter l’impact du stress sur votre corps et vous proposer des solutions.
Éprouves tu déjà certains de ces « symptômes » ?
Pour aller plus loin
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